Diorama - GIGN en action
Intervention du GIGN
Le Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) est l’unité emblématique de la gendarmerie en matière d’intervention et, plus globalement, de gestion des situations d’exception nécessitant l’engagement d’hommes spécialement entraînés et équipés ou la mise en oeuvre de techniques ou de moyens spéciaux.
Les militaires du GIGN sont formés et équipés de moyens et armements spécifiques, très sophistiqués, pour accomplir leurs missions. Ils interviennent généralement pour des faits très graves : terrorisme, prises d’otages, arrestations de dangereux forcenés, émeutes dans les prisons, risques ou menaces sur des intérêts vitaux pour l’Etat, collecte de renseignements et suivi d’individus particulièrement dangereux (terrorisme, grand banditisme), etc. L’efficacité et la compétence du GIGN sont reconnues mondialement.
Le GIGN intervient en premier sur les missions suivantes :
- Piratair : détournement d’avion
- Piratmer : détournement ou attaque de navire
- Piratome : attaque nucléaire
- Piratox : attaque chimique ou biologique
- Piratext : prises d’otages de ressortissants français à l’étranger
mais également les neutralisations de forcenés, les arrestations de personnes dangereuses et armées.
Grâce à ses savoir-faire acquis dans le domaine de la protection de personnalités (y compris à la protection du président de la République de 1983 à 2007), le GIGN assure, selon les circonstances, la protection des diplomates français dans les pays en guerre ou en crise grave (Irak, Afghanistan, Haïti, Côte d’Ivoire, etc).
Particulièrement aguerris mais travaillant toujours dans le cadre d’opérations de police, les hommes du GIGN sont capables de déployer des capacités, des moyens et des méthodes particulièrement élaborées, puisées dans les savoir-faire militaires, pour rechercher du renseignement dans tous type de milieu : urbain/rural, bâti/non bâti, etc, capables de se fondre dans la ville comme dans la campagne.